ardoises de TRELAZE

      

Exploitations des mines depuis le XVeme siecle

fin XVIIeme siecle 250 ardoisiers travaillent sur de nombreux sites, produisant 5.ooo.ooo d'ardoises /an.travail pénible avec accidents fréquents. il y avait les mineurs du bas  qui remontaient les blocs à dos d'hommes par le biais d'échelles et les mineurs d'en haut qui taillaient les lauzes et découpaient à la mesure les ardoises.

1830 arrivée de la machine à vapeur ce qui permit de creuser des puits à 180 mêtres de fond. l'ensemble des sites employaient 3000 personnes.

musée de l'ardoise.

les  puits anciens remplis d'eau sont appellés des vieux fonds.

Comments

[pyrouette]

Beau reportage. Dans ma nouvelle région et surtout dans ma campagne je trouve de beaux morceaux d'ardoises. Je les garde pour ma fille l'artiste qui aimera ces supports. Bises de la Lozère

[Patricia]

Des métiers bien difficiles, trop éprouvants où certains y ont laissé leur vie.
L'ardoise, bien plus jolie que la tuile.
On comprend pourquoi celle-ci est coûteuse.
A bientôt,
Patricia

[haude]

Témoignage important, ton article est très intéressant.
bonne semaine, @ bientôt

[maevina]

l'avantage de nos lauzes cevenoles c'est que les mines étaient à ciel ouvert !

[Lily]

Oups, j'ai écrit trop vite. Le puits de Monthibert est encore en activité, mais ce doit être le seul à Trélazé. Et pour la concurrence, bien sûr, elle n'existe pas à qualité égale =^.^=